Dans la première partie du site, j'ai présenté les résultats de mes recherches sur les graines, comment il est possible d’augmenter les récoltes, en exploitant le cycle cumulatif-dissipatif, qui utilise la “force d”.

Dans cette deuxième partie de ce site, je porte mon attention sur l’eau qui, comme les graines, est au sommet de ce qui rend possible la vie sur notre planète.

Le fait.

C'est un fait que les marées sont dues à l'action de la Lune et, dans une moindre mesure, à l'action du Soleil.

Attribution du phénomène.

Depuis plus de 330 ans, ils ont voulu attribuer le phénomène de marée à la gravité, au prix de combiner la formule normale de l'attraction, où la distance au corps attractif est au carré, avec une seconde formule, où la distance est au cube, qui serait valable, selon la théorie actuelle, uniquement dans le cas des marées.

Tout cela en supposant qu’en plus de la composante verticale, il y aurait également une composante horizontale.

Cependant, tout cela n'explique toujours pas, à mon avis de manière convaincante, le fait que les marées se produisent plutôt à l'intérieur de bassins, comme le démontre un film de la NASA, avec des fréquences qui peuvent être majoritairement bidiurnes, mais aussi diurnes ou mixtes.

Sur la théorie actuelle des marées.

Dans le premier itinéraire dédié aux marées, nous verrons diverses déclarations provenant de multiples sources sur le comportement des marées.

Je présenterai quelques extraits écrits par les partisans de la théorie actuelle des marées, ainsi que mes propres observations écrites en italique.

Une theorie alternative est proposée.

Dans les itinéraires suivants, je proposerai une possible théorie alternative, dans laquelle les marées seraient plutôt dues à des processus cumulatifs-dissipatifs, activés par le mouvement par rapport à une autre matière, c'est-à-dire par rapport à la Lune et au Soleil.

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